D’après des tests portant sur la conduite chez les patients de l’hôpital Paul-Brousse en France, dont un test de station unipodale mesurant l’équilibre et la coordination, montrent qu’il existe une différence motrice statistiquement significative entre les conducteurs sains et les conducteurs atteints de démence. Un risque élevé d’accidents automobiles chez ceux atteints de démence à un stade léger est présent, suggérant la nécessité de l’arrêt de la conduite aussitôt que la maladie apparaît tout en étant conscient de l’autonomie du patient.

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